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samedi 10 janvier 2009

Histoires de...du loup;5ème partie:Fin...

Dans le dernier cas, le loup cherche aussi à s’emparer d’un petit enfant. Est-ce vraiment par goût de la chair humaine, ou bien parce que la résistance opposée était faible ? Quoi qu’il en soit, ces récits sont du passé. De nos jours, même à pied et la nuit, on ne risque plus d’être attaqué par un loup. Il n’y en a plus, à part quelques tentatives de « réinsertion », et certains parcs zoologiques ou animaliers qui en détiennent quelques uns. Par contre, on risque bien plus de rencontrer encore quelque rôdeur ou quelque mauvais larron, qui tentera de vous soustraire le portefeuille, en vous bousculant, voire en vous frappant méchamment ! Et les petits enfants ? Frissonnent-ils encore lorsqu’on leur raconte des histoires de loups ? Si toutefois on en raconte encore... Deux livres à lire sur le sujet : Marie-Jeanne, sorcière de Flandre aux Editions « le Marais du Livre » et « La baronne de Draek », la Dame au Loup de Marie Pette-Debril. Il existe des légendes au Québec, dans la région de Trois-Rivières qui portent sur les loups, loups-garous, bêtes féroces en tout genre. Souvent ces légendes sont associées à des hommes et à des femmes, en proie à une inquiétude suscitée par des villages qui s’urbanisent, ne serait-ce que par la venue d’une industrie du bois, la conquête de nouveaux territoires suite au déboisement, la proximité avec une nature souvent méconnue, la malédiction que l’on associe aux épidémies, aux malheurs, au mauvais sort.

Histoires de...du loup;4ème partie:L'instinct de survie.

Voici un autre récit d’attaque de loup, mais, cette fois, probablement enragé, qui sema l’effroi dans un village, et fut combattu par les hommes jusqu’à ce que ceux-ci réussissent à en avoir raison. L’histoire se passa à Premières, village situé en Côte d’Or, non loin de Dijon, entre Genlis et Auxonne. Dans la nuit du 27 au 28 septembre 1809, un loup pénétra dans l’enceinte de ce village. Il se présenta tout d’abord à la porte d’un bûcheron, qu’il a fortement secouée. Celui-ci, éveillé par le bruit, constate qu’il s’agit d’un loup, s’arme d’un bâton ferré et aperçoit l’animal qui, avec ses dents, brisait une légère cloison. S’en approchant avec méfiance, il réussit à lui porter plusieurs coups qui le font lâcher prise. Devenu furieux, l’animal fait quelques autres dégâts, et finit par pénétrer dans l’étable d’une maison voisine. Il mord le chien qui était arrivé sur place, puis se jette sur une vache dont les beuglements réveillent également les maîtres de la maison qui, prévenu par le coupeur de bois que l’animal est enragé, rentrant dans la maison, et se contentent de réussir à l’éloigner, non sans l’avoir vu renverser une ruche et mordre leur pourceau. L’animal ne s’en tient pas là ! A travers la fenêtre d’une autre maison qu’elle avait brisée, cette bête féroce allait réussir à enlever un enfant dont le berceau était posé sur une table très proche, lorsque heureusement un chien lui saute à la gorge, le terrasse, l’entraîne près du domicile de son maître. Celui-ci, un nommé Tabard, vole au secours de son chien, et, en ouvrant sa porte, le chien et le loup se précipitent dans la chambre, et s’y livrent à un nouveau combat. Les deux filles de Tabard accourent aux cris de leur père, qui luttait aussi contre son dangereux hôte. L’une d’elle, en cherchant de quoi faire de la lumière, a les deux mains prises dans la gueule du loup ; sa soeur les lui dégage à l’aide d’une serpe. Enfin, on parvient à allumer une lampe, et le loup s’enfuit à la vue de la lumière. Mais Tabard, qui s’était ressaisi, avait eu le temps de s’armer d’un fusil. Il ajuste l’animal, tire, l’étend par terre, l’achève ensuite à coups de massue. Fallait-il que ces loups soient vraiment affamés pour ne pas craindre de s’aventurer dans les villages et tenter de pénétrer dans les maisons !...à suivre...

Histoires de...du loup,3ème partie:accusé à tort?...

Quelques mois plus tard, en octobre, un animal féroce répandait la terreur depuis quelques jours dans ce premier arrondissement du Gard : comme autrefois la « bête du Gévaudan », la « bête des Cévennes » exerçait ses ravages dans cette contrée. Cette bête, quoi qu’on en dise, était un loup, mais, cette fois, en cette saison, qui devait être affamé. Toujours dans la même région, le 2 octobre, à dix heures du matin, tout près du hameau de Planzolles, à environ une lieue de Genolhac, un petit garçon âgé de six ans gardait un troupeau avec son grand-père, vieillard de 80 ans. Une chèvre s’étant écartée du troupeau, le vieillard ordonna à son petit-fils de la chercher et de la ramener. L’enfant obéit et, l’instant d’après, la chèvre rejoignit le troupeau. Mais l’enfant ne reparut point. Le grand-père, inquiet, parcourut les environs pour le trouver, sans résultat. Ayant alerté les gens du voisinage, on le chercha de tous côtés pendant le reste du jour et toute la nuit. Mais ce ne fut que le lendemain, qu’on trouva, avec ses vêtements ensanglantés, les traces de son corps dévoré, dont il ne restait que quelques ossements et une partie d’un bras avec la main. Le 6 du même mois, vers 18 heures 30, une petite fille de sept ans qui habitant Malenches, un village des environs de Genolhac, qui jouait dehors, s’était un peu écartée de sa maison. Ses parents s’aperçurent bientôt de son absence, et commencèrent à s’alarmer, surtout lorsque quelqu’un rapporta l’avoir entendu crier et appeler sa mère. Des recherches sont entreprises aussitôt, et au bout d’un moment, on ne trouva d’elle que ses habits déchirés et teints de sang, quelques os et la tête entière. Ce qui a servi à accréditer l’opinion que l’animal qui a fait ces ravages n’est pas un loup, mais plutôt une hyène, ou quelqu’autre bête féroce, ou même un monstre, c’est que, contre l’instinct bien connu des loups, celui-ci laissa la chèvre pour dévorer l’enfant. Il ne faut pas voir une préférence dans ce premier cas de sa férocité contre l’espèce humaine. Il est bien plus vraisemblable que la chèvre ayant vu de loin son ennemi, prit la fuite, et que l’animal carnassier, voyant qu’il ne pouvait pas atteindre sa proie, et qu’elle allait rejoindre le troupeau qui était gardé par un homme, se jeta sur l’enfant qui se trouvait isolé et qui, à cause de sa petite taille, ne pouvait lui opposer une grande résistance. Mais que penser du deuxième cas, celui de la petite fille ? Il n’est peut-être pas étonnant qu’après avoir tâté de la chair humaine, cet animal l’ait préféré à toute autre, et qu’il ait attaqué des enfants, et même des hommes, pour satisfaire sa faim...à suivre...